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Le défouloir d'Axl

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20 août 2006

Photos de gosses !!!

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30 juin 2005

Citation du jour

Il ne faut pas avoir peur du bonheur. C'est seulement un bon moment à passer.

[ Romain Gary ]

23 juin 2005

Dire la vérité

Voici la Lettre envoyée au Président George W. Bush par le Cardinal Archevêque de Boston Bernard Law.

Monsieur le Président,

Dire la vérité au peuple, Monsieur le Président, au sujet du   terrorisme.
Si les illusions au sujet du terrorisme ne sont pas détruites, alors la menace continuera jusqu'à notre destruction complète. La vérité est qu'aucune de nos nombreuses armes nucléaires ne peut nous protéger de ces menaces. Aucun système "Guerre des Étoiles" (peu importe la technique de pointe, ni combien de milliards de dollars seront gaspillés dans ces
projets)ne pourra nous protéger d'une arme nucléaire transportée dans un bateau, un avion ou une voiture louée. Aucune arme, ni de votre arsenal, ni Un centime des 270 millions de dollars gaspillés chaque année dans le dénommé "système de défense" ne peut éviter une bombe terroriste. C'est un fait militaire. En tant que lieutenant-colonel à la retraite et dans de fréquentes conférences au sujet de la sécurité nationale, j'ai toujours cité le Psaume 33 : "Un roi n'est pas sauvé par son armée puissante, comme un guerrier n'est pas sauvé par sa vigueur".

La réaction évidente est : "Alors que pouvons-nous faire ?

N'existe-t-il rien, que nous puissions faire pour garantir la sécurité de notre peuple ? Si!
Mais pour entendre cela, il faut savoir la vérité sur la menace.
Monsieur le Président, vous n'avez pas dit la vérité sur le "pourquoi" nous sommes la cible du terrorisme quand vous avez expliqué pourquoi nous bombarderions l'Afghanistan et le Soudan. Vous avez dit que nous étions la cible du terrorisme parce que nous défendions la démocratie, la liberté et les droits humains dans le monde.
C'est absurde, Monsieur le Président.
Nous sommes la cible des terroristes parce que, dans la plus grande partie du monde, notre gouvernement a défendu la dictature, l'esclavage et l'exploitation humaine. Nous sommes la cible des terroristes, parce que nous sommes haïs, et nous sommes haïs, parce que nous avons fait des choses odieuses.

En combien de pays des agents de notre gouvernement ont-ils chassé des leaders pour leurs peuples, en les remplaçant par des dictateurs militaires, des marionnettes désireuses de vendre leur propre peuple à des groupes américains multinationaux ?

Nous avons fait cela en Iran, quand les Marines et la CIA ont déposé Mossadegh parce qu'il avait l'intention de nationaliser l'industrie pétrolière.
Nous l'avons remplacé par le Shah Rez Pahlevi et nous avons armé, entraîné sa garde nationale haïe, la SAVAK, qui a réduit à l'esclavage, brutalisé le peuple iranien, pour protéger les intérêts financiers de nos compagnies pétrolières. Depuis cela, est-il difficile d'imaginer qu'il existe, en Iran, des personnes qui nous haïssent?

Nous l'avons fait au Chili,
nous l'avons fait au Viet Nam.
Plus récemment nous avons tenté de le faire en Irak. C'est clair !

Combien de fois l'avons-nous fait au Nicaragua et dans d'autres républiques en Amérique Latine ? Une fois après l'autre, nous avons destitué des leaders populaires, qui voulaient répartir les richesses de leur terre pour que le peuple les gère. Nous les avons remplacés par des tyrans assassins, qui vendaient leur propre peuple pour que - moyennant le paiement de sommes énormes pour engraisser leur compte bancaire privé - la richesse de leur propre terre puisse être accaparée par des sociétés telles que Domino Sugar, United Fruit Company, Folgers et d'autres semblables.

De pays en pays notre gouvernement a obstrué la démocratie, a étouffé la liberté et a piétiné les droits humains. C'est pour cela que nous sommes haïs dans le monde et c'est pour cela que nous sommes la cible des terroristes.

Le peuple du Canada jouit de la liberté et des droits humains, ainsi que le peuple de Norvège et de Suède. Avez-vous entendu dire que des Ambassades canadiennes, norvégiennes ou suédoises aient été bombardées ?
Nous ne sommes pas haïs parce que nous pratiquons la démocratie, la liberté et les droits humains.

Nous sommes haïs parce que notre gouvernement refuse ces choses aux peuples du Tiers -monde, dont les ressources sont convoitées par nos groupes multinationaux. Cette haine que nous avons semée se retourne contre nous en nous effrayant par le terrorisme, et, dans l'avenir, par le terrorisme nucléaire.

Une fois que la vérité a été dite sur les raisons de cette menace et une fois qu'elle a été entendue, la solution devient évidente. Nous devons changer nos pratiques. Nous libérer de nos armes nucléaires (même unilatéralement s'il le faut), améliorera notre sécurité.
Changer drastiquement notre politique extérieure, la consolidera.
Au lieu d'envoyer nos fils et nos filles de par le monde, pour tuer des Arabes, en vue de prendre possession du pétrole, qui existe sous leur sable, nous devrions les envoyer pour reconstruire leurs infrastructures, fournir de l'eau potable et nourrir les enfants affamés.

Au lieu de continuer à tuer des milliers d'enfants irakiens tous les jours par nos sanctions économiques, nous devrions aider les Irakiens à reconstruire leurs centrales électriques, leurs stations de traitement des eaux, leurs hôpitaux, tout ce que nous avons détruit et ce que nous empêchons de reconstruire avec nos sanctions économiques...
Au lieu d'entraîner des terroristes et des escadrons de la mort, nous devrions fermer l'École des Amériques. Au lieu de soutenir la révolte, la déstabilisation, l'assassinat et la terreur dans le monde, nous devrions abolir la CIA et donner l'argent dépensé pour elle aux organismes humanitaires. En résumé, nous devrions être bons au lieu d'être mauvais.
Qui alors essaierait de nous arrêter ? Qui nous haïrait ? Qui voudrait nous bombarder ? C'est cela, Monsieur le Président. C'est cela que le peuple américain a besoin d'entendre.

Bernard LAW, Cardinal - Archevêque de Boston

23 juin 2005

Grande sagesse...

La scène se passe dans un temple Shaolin.

Le disciple:
"Très sage et très honorable Maître, pourriez-vous m'enseigner quelle est la différence entre une perle et une femme ?"

Le Maître:
"La différence, humble petit scarabée, c'est que tu peux enfiler une perle des deux côtés,et une femme, seulement d'un côté."

Le disciple (confus):
"Mais maître, honte à moi de vouloir contredire votre himalayenne sagesse, mais j'ai entendu dire que certaines femmes se laissaient enfiler des deux côtés !"

Le Maître (avec un mince sourire):
"Alors, ce n'est pas une femme, c'est une perle."

23 juin 2005

Seduction by Star Sign

ARIES

To Know Me: I'm the happy-go-lucky, fun-loving type. Of course you were naturally drawn to me -- I'm easygoing, ready and willing to hop aboard the merry-go-round.

Seduction Mantra: I get bored easily, so find ways to give me attention, like back rubs, phone calls. If you're going to be a pain-in-the-ass, I'm going.

You Know It's Working When: I'm an extrovert -- can't stand to sit around and brood over anything. Life's too short to waste on uninteresting people, projects or places. I'll give you a try if I suspect that you really need me. But not too needy, please! Who knows -- maybe I'll turn you around.

TAURUS

Titillating Talk Is the Trick: Conventional wisdom says stubborn Taureans want to play the romance game their way, but don't be misled. Sure, headstrong Bulls may be most comfortable when they're in control, but sometimes a little provocation can bring out their best. Play matador and flash a red cape. Don't be afraid to lock horns; a Taurus gets turned on by stimulating banter. As long as you don't insist on having the last word, you'll do fine.

Seduction Mantra: Speak up.

You Know It's Working When: A Taurus may seem feisty and confrontational at first, but it's usually just to see what you are made of. Much like a bullfighter, if you hold your own long enough, you'll be able to get in close for the kill. And what a kill it will be.

GEMINI

Games and Gossip: The zodiac's Twin has two sides, playful and serious. Appeal to both. When playful, seduction should be a breeze: With little encouragement on your part, a Gemini will most likely want to please and flirt with you, too. A serious-faced Gem finds collusion a huge turn-on. Cozy up by asking for help or confessing a secret, because a Gemini loves nothing more than to be on the inside tip. Or, turn the seduction into a game -- the more elaborate, the better.

Seduction Mantra: Flatter and flirt.

You Know It's Working When: A Gemini's two sides often play off of one another, so make each of them happy. Have you complimented your special twin recently? Good -- now give a little cold shoulder and watch how he or she swings the next move. Relax, your Gem won't see this as a mean mind game, just a demonstration of interest without crowding his or her space.

CANCER

The Art of the Approach: Cancers need to feel emotionally secure before crawling out of their shells, so what works best is some good old-fashioned courtship. Guys: Dust off that pedestal and unfurl the red carpet. Gals: Do the same. Both female and male Crabs enjoy a mate who takes the lead in planning an evening of romance. In fact, they're usually waiting patiently for such an occasion to arise.

Seduction Mantra: Trust leads to lust.

You Know It's Working When: A captivated Cancer will develop a serene inner glow: Look for a radiant smile, healthy appetite, conversation and eye contact galore. When you two truly get close, you may also notice the telltale heart on his or her sleeve.

LEO

Tread Lightly Toward Love: It's no coincidence that Leos share their name with the king of the jungle -- neither the man nor the beast likes to be caged in, and both may feel threatened if you violate their personal space too suddenly. Approach your beloved gingerly; avoid getting your head bitten off by not stepping on any toes. This doesn't mean that a Leo will always be a royal pain. Once you dare enter the lair, you'll find your Lion is kind, generous and loyal. Mimic these qualities for a roaring good time.

Seduction Mantra: Sensitive suitors survive.

You Know It's Working When: A truly in-love Leo is comfortable sharing the spotlight. If you find yourself working the room in tandem with this striking show-stealer, feel confident. Your Leo may not be glued to you at all times, but knowing that you're nearby is what makes this cat purr.

VIRGO

The Perfect Pursuit: The love Virgo wants is like a cloudless day: clear to the horizon and free of any imperfections. Even though Virgo knows that purity is just a dream, he or she still wants reassurance that dreams can come true. In the early stages of your pursuit, avoid divulging your deepest fears and flaws. Instead, learn about your crush, both the good and bad. Once the cracks in his or her own facade start to show, yours won't seem so icky. In fact, they might even look pretty sexy.

Seduction Mantra: Don't crack up.

You Know It's Working When: A curious Virgo is a hooked Virgo. Along with sharing their own secret selves, these naughty virgins want to know just who it is they've accepted into their lives. Answer everything they ask, but don't be afraid to stop talking and start kissing.

LIBRA

The Beauty of Balance: The shortest path to a Libra's heart has always been the straight and narrow. These charming, gentle creatures are never as composed as they appear; it takes a lot of effort to keep those scales balanced. Approach their tightrope walk carefully, avoiding head games that might trip you up. Libras want nothing more than your undying love. Failing that, they'll take an honest roll in the hay. But remember, there's a difference between a sincere pounce and an overly blunt assault. There's no need to hold back that forbidden fruit, but a sweet candy coating will make it all the more appetizing.

Seduction Mantra: Tip the scales.

You Know It's Working When: It's all about the sweet nothings. The more a Libra whispers, the merrier he or she is. And as always, never leave a Libra hanging; divulge right back, as often as possible. As the compliments and confessions grow, you'll know just how hooked your Libra lover is.

SCORPIO

The Power of Passion: Mysterious, deeply impulsive and enigmatically sexual, the spiritual Scorpio loves to be around people who are enthusiastic, imaginative and sensitive. A basic dinner-movie combo date is out -- too obvious, too overdone. Suggest a Zen-like walk through a tranquil part of town, try stargazing or simply sit and stare into your crush's eyes, absorbing every word. Scorpio also has a dark side and can be a control freak, so let him or her make the final call on plans. But don't hold back: Touch your Scorpio's arm, cheek, neck -- anywhere there is bare skin -- to make a searing impression.

Seduction Mantra: Take it to the limit, one more time.

You Know It's Working When: A smitten Scorpio will melt under a cool hand. However, don't freak if you make a move and then get frozen out. A Scorpio sometimes pulls back to reassert power in the relationship. It doesn't mean lack of interest. Pursue with the same passion as above, but on a lower pilot light.

SAGITTARIUS

The Sharing of Stimuli: Sagittarius is best tempted by the spice of life -- variety. What made the sparks fly on your first encounter probably won't get the same heated reaction the next time around. Most likely the exact opposite will be the key to red-hot romance. If you want to keep your Archer from wandering, you'll need to keep him or her guessing.

Seduction Mantra: Routine is for robots.

You Know It's Working When: A Sagittarius shows his or her interest by actually sticking around till the end of the night -- or the next morning. Archers are not the most soft-hearted creatures of the zodiac, but once under your spell look out for these clues: flustered behaviour, stuttering speech, severe blushing and serious eye contact

CAPRICORN

The Deal Is in the Details: Capricorns, extremely goal-oriented, take romantic encounters as seriously as their board meetings. The tricky part of getting close to one of these success-seeking Goats is not to have the interview end before you think it has begun. Instead of wasting time polishing your resume, put your best foot forward before your crush gets a chance to figure out why you don't fit perfectly into any well-oiled plans for the future. Pull out all of the stops and leave no detail of a date to chance.

Seduction Mantra: Your first impression is final.

You Know It's Working When: Lucky for you, once you're in, you're really in. Charmed Capricorns are some of the most faithful lovers in the zodiac, and when they sense a good thing, they won't let it go. Early signs of interest include an open checkbook.

AQUARIUS

The Love of the Literary: Aquarians dig learning for the sake of knowing, and they love to ponder deeper meanings of, like, life. Get to their hearts via their brains, in three easy steps. One: Find out exactly what turns your Aquarius on. (If you can't do that, then just start with newspaper headlines.) Two: Read up. Three: Casually strike up a conversation. Bam! Aquarians will be into your discourse and debate. Whatever you do, don't fake your knowledge -- you'll only get caught.

Seduction Mantra: Know it all.

You Know It's Working When: Most Aquarians like to keep their dating options open until they've met their soul mate. But have patience: Once they commit to romance, it's serious business. Becoming friends first gives you better than 50-50 odds that an Aquarian will ultimately be yours. When you do move from pal to passion, just let your Water Bearer think that it's all his or her idea.

PISCES

Big Talk, Little Fish: What a Pisces wants, more than the world, is to understand the cosmic pond we all inhabit. While blowing bubbles and swimming in circles is fun for a while, your Fish needs a companion, a fellow thinker and philosopher. Talk to your Pisces about big issues, little things and anything else that comes up. Don't worry about saying the wrong thing; you don't always need an answer for the tough questions. Just remember to take your crush's hand and hold it tight. Letting go is optional.

Seduction Mantra: Go with the flow.

You Know It's Working When: A happy Pisces might seem aloof at first, but soon you'll find yourself reeled in -- so close, in fact, you'll have trouble breathing. The emphasis here is less on quality time, but quantity of time. Make your Pisces feel comfortable, and their world is yours.

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23 juin 2005

Prendrte le temps de dire ...

Un jour, un enseignant demanda à ses étudiants d'écrire les noms des autres étudiants dans la classe sur deux feuilles de papier et de laisser un espace entre chaque nom.  Puis, il leur dit de penser à la chose la plus agréable qu'ils pourraient dire de chacun de leurs camarades et de le noter.  Ça a pris le reste du cours pour finir leur tâche, et chaque étudiant quitta la salle en remettant leurs feuilles à l'enseignant.

Ce samedi-là, l'enseignant nota le nom de chaque étudiant sur une feuille individuelle pour chacun, et inscrivit ce que tout le monde avait dit de chacun.

Le lundi, elle a donné à chaque étudiant sa liste respective.  Avant longtemps, la classe entière souriait.  "Vraiment?" entendit-elle chuchoter.  "Je ne savais pas que j'avais autant d'importance pour qui que ce soit!" et, "Je ne savais pas que les autres m'aimaient autant." fut la plupart des commentaires.

Personne n'a plus jamais parlé de ces papiers dans la classe à nouveau.  Elle n'a jamais su s'ils en avaient discutés après la classe ou avec leurs parents, mais peu importe.  L'exercice était arrivé à son but.  Les étudiants étaient contents l'un de l'autre.

Ce groupe d'étudiants termina finalement l'année.

Plusieurs années plus tard, un des étudiants fut tué au Viêt-nam et l'enseignant assista aux funérailles de cet étudiant spécial.  Elle n'avait jamais vu un homme dans un cercueil militaire avant.  Il avait l'air si élégant, si mature.  L'église fut remplie par ses amis.  Un à un, ceux qui l'avaient aimé sont allés pour une dernière fois de voir le cercueil.  L'enseignant fut le dernier à y aller.  Comme il se tenait là, un des soldats qui était porteur du cercueil est venu vers lui.  Il lui demanda : "Étiez-vous l'enseignant de maths de Marc?".  Il hocha la tête en signe de oui.  Alors il lui dit: "Marc m'a beaucoup parlé de vous."

Après les funérailles, la plupart des anciens camarades de classe de Marc sont allés déjeuner ensemble.  Les parents de Marc étaient là, attendant de parler avec son enseignant de toute évidence. "Nous voulons vous montrer quelque chose," dit son père en sortant un portefeuille de sa poche.  "Ils ont trouvé ça sur Marc quand il a été tué.  Nous avons pensé que vous pourriez le reconnaître."  En ouvrant le portefeuille, il a soigneusement enlevé deux morceaux de papier qui avaient évidemment été collés, pliés et repliés plusieurs fois.  L'enseignant a su sans même regarder que les papiers étaient ceux où il avait énuméré toutes les bonnes choses que chacun des camarades de Marc avait dites de lui.  "Merci beaucoup pour avoir fait cela," dit la mère de Marc. "Comme vous pouvez le voir, Marc l'a gardé précieusement."  Tous les anciens camarades de classe de Marc ont commencé à se rassembler autour de l'enseignant.  Charlie souri d'une façon plutôt gênée et dit : "J'ai toujours ma liste dans le tiroir du haut de mon bureau à la maison."  La femme de Chuck, un ancien étudiant, dit : "Chuck m'a demandé de mettre le sien dans notre album de mariage."  "J'ai le mien aussi," dit Marilyne. "Il est dans mon journal intime."  Alors Vicky, une autre camarade de classe, prit son livre de poche, en sortit son fragile morceau de papier contenant la liste et le montra au groupe.  Puis elle dit : "Je porte ceci avec moi tout le temps" et sans battre de l'œil, elle poursuivit: "Je pense que nous avons tous gardé notre liste."

C'est à ce moment que l'enseignant s'est finalement assis et s'est mis à pleurer.  Il a pleuré pour Marc et pour tous ses amis qui ne le reverraient plus jamais.  La quantité de gens dans la société est si grande que nous oublions que cette vie se terminera un jour. Et nous ne savons pas quand le jour viendra.  Alors, s'il vous plaît, dites aux gens que vous aimez et dont vous vous souciez, qu'ils sont spéciaux et importants.  Dites-leur avant qu'il ne soit trop tard...

(Auteur inconnu)

23 juin 2005

Renseignements SVP !

Lorsque j'étais très jeune, mon père a eu l'un des premiers téléphones dans notre voisinage. Je me rappelle très bien la vieille boîte en bois, bien polie fixée au mur et le petit récepteur noir, bien lustré, accroché sur son côté.

J'étais trop petit pour atteindre le téléphone, mais j'étais habitué à écouter avec fascination ma mère lui parler. J'ai, par la suite découvert qu'en quelque part, dans ce merveilleux appareil, vivait une personne fantastique - son nom était "Renseignement SVP" et il n'y avait rien qu'elle ne savait pas. "Renseignement SVP" pouvait fournir le numéro de n'importe qui en plus de l'heure exacte.

Ma première expérience personnelle avec ce "génie dans une bouteille" s'est produite un jour où ma mère était partie chez une voisine. Je m'amusais au sous-sol et, je me suis donné un violent coup de marteau sur un doigt. La douleur était terrible, mais il ne semblait pas y avoir de raisons pour que je crie. J'étais seul et personne ne pourrait m'entendre et me réconforter. Je faisais les cent pas autour de la maison, en suçant mon doigt pour finalement arriver devant l'escalier. Le téléphone !!! Rapidement, j'ai couru chercher le petit tabouret dans la cuisine et je l'ai traîné jusque devant le téléphone. Je suis monté dessus, j'ai décroché le combiné et l'ai placé contre mon oreille. "Renseignement SVP" dis-je dans le microphone, juste au-dessus de ma tête. Un click ou deux et j'entends une petite voix claire me dire "Renseignement". Je dis alors, "Je me suis fait mal au doigt", "Est-ce que tu saignes ?" m'a demandé la voix. Je lui réponds "Non", "je me suis frappé le doigt avec un marteau et ça fait très mal". Elle me demande alors " Peux-tu ouvrir la boîte à glace ?" Je lui répondis que oui je pouvais. "Alors, prend un petit morceau de glace et pose le sur ton doigt" me dit-elle.

Après cette expérience, j'ai appelé "Renseignement SVP" pour n'importe quoi. Je lui ai demandé de l'aide pour ma géographie et elle m'a dit où se trouvait Montréal. Elle m'a aidé aussi avec mes mathématiques. Elle m'a dit que le petit écureuil, que j'avais trouvé dans le parc, la journée précédente, devait manger des fruits et des noix. Un peu plus tard, mon petit canari est mort. J'ai donc appelé "Renseignement SVP" et lui ai raconté ma triste histoire. Elle m'a écouté attentivement et m'a dit les choses usuelles qu'un adulte dit pour consoler un enfant, mais j'étais inconsolable. Je lui ai demandé "Pourquoi les oiseaux chantent si merveilleusement et procurent tellement de joie aux familles, seulement pour finir comme un tas de plumes dans le fond d'une cage ?" Elle a probablement ressenti mon profond désarroi et me dit alors, d'une voix si calme "Paul, rappelle-toi toujours qu'il existe d'autres mondes où on peut chanter". D'une certaine façon, je me sentais mieux. Une autre fois que j'utilisais le téléphone : "Renseignement SVP". "Renseignement" me répondait la voix, maintenant devenue si familière. Je lui demande alors, "Comment épelez-vous le mot réparation ?".

Tout ça se passait dans la ville de Québec. Alors que j'avais 9 ans, nous sommes déménagés à l'autre bout de la province, à Baie-Comeau. Je m'ennuyais terriblement de mon amie. "Renseignement SVP" appartenait à cette vieille boîte en bois de notre maison familiale, et, curieusement, je n'ai jamais songé à utiliser le nouvel appareil téléphonique étincelant, posé sur une table, dans le corridor, près de l'entrée. Alors que je me dirigeais vers l'adolescence, les souvenirs de ces conversations de mon enfance ne m'ont jamais quitté. Souvent, lors des moments de doute et de difficultés, je me rappelais ce doux sentiment de sécurité que j'avais à cette époque. J'appréciais maintenant, la patience, la compréhension et la gentillesse qu'elle a eue à consacrer de son temps pour un petit garçon.

Quelques années plus tard, alors que je me dirigeais au Collège, à Montréal, mon avion devait faire une escale à Québec. J'avais donc près d'une demi-heure entre le transfert d'avion. J'ai donc passé 15 minutes au téléphone avec ma sœur, qui vit toujours à Québec. Ensuite, sans penser vraiment à ce que je faisais, j'ai composé le "0" et dit "Renseignement SVP". Miraculeusement, j'entendis alors cette même petite voix claire que je connaissais si bien, "Renseignement". Je n'avais rien prévu de tout ça, mais je m'entendis lui dire, Pouvez-vous m'aider à épeler le mot "réparation" ?". Il y a eu un long moment de silence. Ensuite, j'entendis une voix si douce me répondre : "Je suppose que ton doigt doit être guéri maintenant. " Je me mis à rire et lui dit "C'est donc toujours vous". Je lui dis " Je me demande si vous avez la moindre idée comme vous étiez importante pour moi pendant toutes ces années". "Je me demande" dit-elle, "si tu sais combien tes appels étaient importants pour moi. Je n'ai jamais eu d'enfant et j'étais toujours impatiente de recevoir tes appels". Je lui ai dit comment, si souvent, j'ai pensé à elle au cours de ces dernières années et je lui ai demandé si je pouvais la rappeler, lorsque je reviendrais visiter ma sœur. "Je t'en prie, tu n'auras qu'à demander Sally" me répondit-elle.

Trois mois plus tard, alors que j'étais de nouveau à Québec. Une voix différente me répondit "Renseignement". J'ai donc demandé à parler à Sally. "Êtes-vous un ami?" me demanda la voix inconnue. Je lui répondis "Oui, un vieil ami". J'entendis la voix me dire "Je suis désolé d'avoir à vous dire ça, Sally ne travaillait plus qu'à temps partiel ces dernières années parce qu'elle était très malade. Elle est morte il y a cinq semaines déjà". Avant même que je n'ai le temps de raccrocher, elle me dit "Attendez une minute. M'avez-vous dit que votre nom était Paul? " Je répondis "Oui". "Et bien, Sally a laissé un message pour vous. Elle l'a écrit, au cas où vous appelleriez. Laissez-moi vous le lire". Ce message disait "Dites-lui que je crois toujours qu'il y a d'autres mondes où on peut chanter. Il saura ce que je veux dire". Je lui dis donc merci et raccrochai. Je savais ce que Sally voulait dire.

Ne sous-estimez jamais l'influence que vous pouvez avoir sur les autres.

La vie de qui avez-vous touché aujourd'hui ?

Bonne Journée!

(Auteur inconnu)

23 juin 2005

L'Histoire des sentiments

Il était une fois, une île où tous les différents sentiments vivaient: le Bonheur, la Tristesse, le Savoir, ainsi que tous les autres, l'Amour y compris.

Un jour on annonça aux sentiments que l'île allait couler.
Ils préparèrent donc tous leurs bateaux et partirent.
Seul l'Amour resta. L'Amour voulait rester jusqu'au dernier moment.
Quand l'île fut sur le point de sombrer, l'Amour décida d'appeler à l'aide.

La Richesse passait à côté de l'Amour dans un luxueux bateau. L'Amour lui dit: "Richesse, peux-tu m'emmener?"
"Non car il y a beaucoup d'argent et d'or sur mon bateau.  Je n'ai pas de place pour toi."

L'Amour décida alors de demander à l'Orgueil, qui passait aussi dans un magnifique vaisseau: "Orgueil, aide moi je t'en prie!"
"Je ne puis t'aider, Amour. Tu es tout mouillé et tu pourrais endommager mon bateau."

La Tristesse étant à côté, l'Amour lui demanda: "Tristesse, laisse moi venir avec toi."
"Ooh... Amour, je suis tellement triste que j'ai besoin d'être seule !"

Le Bonheur passa aussi à côté de l'Amour, mais il était si heureux qu'il n'entendit même pas l'Amour l'appeler!

Soudain, une voix dit: "Viens Amour, je te prends avec moi."
  C'était un vieillard qui avait parlé.
  L'Amour se sentit si reconnaissant et plein de joie qu'il en oublia de demander son nom au vieillard.

Lorsqu'ils arrivèrent sur la terre ferme, le vieillard s'en alla.
L'Amour réalisa combien il lui devait et demanda au Savoir: "Qui m'a aidé?"
  "C'était le Temps" répondit le Savoir.
  "Le Temps?" s'interrogea l'Amour.  "Mais pourquoi le Temps m'a-t-il aidé?"
  Le Savoir sourit plein de sagesse et répondit: "C'est parce que seul le Temps est capable de comprendre combien l'Amour est important dans la Vie.

(Auteur inconnu)

23 juin 2005

Comment créer une depression ?

Un homme vivait sur le bord de la route...

... et vendait des "hot dogs".
Il était sourd et par conséquent, n'avait pas de radio.
Sa vue étant défectueuse, il ne lisait aucun journal.
Mais il vendait de bons "hot dogs".
Il installa sur la route des panneaux-réclame indiquant combien ils étaient bons.
Il se tenait au bord de la route et criait «Monsieur, achetez un "hot dogs"»,
et les passants en achetaient.
Il augmenta ses commandes de pains et de saucisses et se procura un meilleur
réchaud pour satisfaire aux exigences de son commerce.
Pour l'aider, il rappela son fils du collège...
Alors, quelque chose se produisit.
Son fils lui dit: «Papa, n'as-tu pas écouté la radio?
Ne lis-tu pas les journaux?  Une grande dépression s'annonce.
La situation internationale est bouleversée
et la situation domestique est pire encore.»
Sur ce, le père pensa: «Bien, mon fils a fréquenté le collège,
il écoute la radio et lit les journaux, par conséquent il doit savoir.»
Alors le père diminua ses commandes de pains et de saucisses,
enleva ses panneaux-réclame et cessa de se tenir sur le bord de la route
pour vendre ses "hot dogs".
Aussi, les ventes de "hot dogs" baissèrent presque en un clin d'œil.
«Tu avais raison», dit le père à son fils.
«Nous sommes vraiment en pleine période de grande dépression.»

(Auteur inconnu)

23 mai 2005

Mélissa Theuriau No comment...

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Mélissa Theuriau

No comment...

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